Poney d’avril

La plupart des gens prennent les poissons d’avril pour acquis mais sachez que ça se perd et vous, chers lecteurs habitués à des events et des chaps ou tout simplement un bon gros troll aquatique, n’avez pas idée à quel point c’est dur d’en trouver un bon. D’ailleurs, cette année, la STU a opté pour le poney d’avril, c’est plus écolo et on a pas à obtenir le label pêche du rab, pardon, durable.

On vous entend déjà hurler à la flemme et nous accuser de buller sans vergogne dans les grandes largeurs pour éviter les grandes profondeurs mais on va vous expliquer en image toutes les difficultés rencontrées par nos valeureux pros du moulinet:

Déjà, certains ont jamais vu un poisson de leur vie donc c’est pas gagné…


Ensuite, c’est dur de préparer un poisson en évitant le chat, surtout celui de la baka-nyan…


Et je vous parle pas des erreurs de casting et autres incidents façon manganado…

Il y a aussi ceux qui sont trop gros pour passer…


Parce que c’est très technique vous savez, faut trouver le bon appât…


Et puis faut pas se laisser distraire…


En plus, faut que ce soit bien frais, sinon tout le monde trouve ça pourri…

Parce que soyons honnêtes, y’en a qui datent un peu, genre pas loin de 50 ans…

On n’abordera même pas les contraintes religieuses bouddhistes ou shintoïstes…

Voire les contraintes légales avec certaines espèces protégées…

Bref, vous avez compris que c’est pas évident de faire le tri pour notre équipe de choc…
Même quand ils chopent quelque chose !

La STU souhaite donc un excellent poney d’avril à tous ceux qui espéraient mettre la main sur des chaps.

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